Qui détient la suprématie dans le domaine de CRISPR et autres nucleases. Dans la géopolitique de la biologie, appliquée à l’édition du génome des organismes vivants, on retrouve sans grande surprise les deux acteurs principaux que sont la Chine et les Etats-Unis, et quelques rôles secondaires. La surprise vient davantage de l’intensité de la confrontation que de l’identité des acteurs : “une confrontation de type « Sputnik 2.0 » entre les États-Unis et la Chine » …
Pour un scénario plus précis, Guillaume Levrier, doctorant au CEVIPOF – Sciences Po, vient de publier l’article ci-dessous, pour la revue en ligne The Conversation :
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