“Nous avons encore 3 à 5 ans devant nous pour que les technologies non invasives, c’est à dire avec un simple casque ou des lunettes ou un chapeau, ne puisse détecter notre activité cérébrale et l’utiliser. Mettons à profit ces 3 à 5 ans pour mettre en place un système international de réglementation qui permette le bon usage et prévienne le mauvais usage de ces neurotechnologies ...”.
La phrase du jour est de Hervé Schneiweiss, qui résume en quelques minutes, dans le cadre de la préparation d’une recommandation de l’UNESCO, les enjeux colossaux de la banalisation de ces dispositifs.
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