La Cour Européenne des droits de l’homme considère que “avoir porté des coups de parapluie à des gendarmes à l’occasion d’une manifestation syndicale d’agriculteurs” ne constitue pas un motif suffisant pour obliger une personne à se soumettre à un prélèvement ADN et à figurer dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques, FNAEG. En 2008, l’agriculteur en question avait été condamné en France à deux mois d’emprisonnement avec sursis et une amende de 500 euros.
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