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Biologie computationnelle : de la révolution électronique à la révolution du vivant.

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De la révolution électronique à la revolution du vivant… De la software revolution, la capacité de programmer l’électronique, le monde va passer à la living software revolution, la capacité à programmer le biologique. Ou plutôt la combinaison des deux, c’est à dire la biologie computationelle.

Le champ de la biologie computanionnelle recouvre les travaux qui se situent à l’interface entre l’informatique et les sciences du vivant, la modélisation et la programmation du vivant en particulier. La biologique computationnelle constitue le lien ultime entre le logiciel et le biologiciel (traduction Ted). et la première révolution pourrait bien paraitre insignifiante par rapport à la seconde.

Sara-Jane Dunn, chercheur en biologie computationelle chez Microsoft, s’attarde sur  la capacité de programmer chimiquement des matières biologiques, à programmer des cellules biologiques. La biologie computationnelle ouvre des perspectives considérables non seulement dans le domaine médical mais aussi dans le domaine de l’agriculture et de l’énergie : ” nous pourrions utiliser les propriétés de la biologie pour créer de nouveaux types de thérapie, pour réparer des tissus endommagés, pour reprogrammer des cellules endommagées et même pour construire des systèmes d’exploitation par la biochimie…” (1) explique la  chercheuse au cours d’une conférence TED, à voir absolument pour comprendre les enjeux de la programmation du vivant à horizon 10-15 ans.

 

1 – Traduction TED.

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